L’Antirouille fête ses 5 ans !

L’Antirouille fête ses 5 ans ! 5 ans… déjà ! L’Antirouille fête son 5ème anniversaire, un cap important pour une PME et l’occasion de faire le point avec son « BIG » boss,  Jean Christophe Roig. Passionné par son métier, il revient sur cette belle aventure en répondant aux questions de… l’Antirouille ! L’antirouille : Dis Boss, pourquoi je m’appelle comme ça ? JC Roig : "Bonne question, j’ai pris des notes et je ne voulais pas un nom basique qui ne marque pas les esprits. J’ai fait un bilan de ce que je ce que je voulais faire et en pensant à la restauration on pense à la rouille, donc l’Antirouille…" Avant d’ouvrir l’Antirouille, que faisais-tu ? « J’ai commencé en école d’ingénieur en informatique et j’ai travaillé chez Areva. Mais suite à ça, j’ai dû passer un CAP et une formation en aérographie pour pouvoir ouvrir la carrosserie. J’ai ouvert cette structure en 2016 et là, on souffle notre 5 ème bougie cette année. » Pourquoi choisir le métier de carrossier ? « C’était une passion depuis toujours, je m’amusais à repeindre des scooters dans le jardin de mes parents quand j’étais petit. Et puis, j’avais cette âme d’entrepreneur, depuis les écoles d’ingénieurs, j’avais l’envie de faire de ma passion mon métier. » Tu voulais faire quelque chose par toi-même ? « Tout à fait. 5 ans plus tard, c’était un pari risqué, mais ça s’est bien passé. Aujourd'hui on est trois dans l'équipe de l’Antirouille. » Qui est composée de ? « Deux carrossier peintre et moi. On fait tous types de véhicules et de restaurations, en se limitant à un ou deux projets par an en plus de la carrosserie standard. En 5 ans on aura passé par mal de voitures en restauration, Jeep Wrangler, 528i, Camaro, quelques Ford Mustang, des motos… on le fait par passion. C’est pour ça qu’on sélectionne nos projets. C’est du sur mesure aux besoins du client. » Actuellement, tu as des partenaires pour la mécanique ? On s’est tissés un réseau de professionnels reconnus pour la qualité de leur travail, Nous travaillons avec des mécaniciens sur La Ciotat. As-tu un projet préféré ? C’est quoi la vitrine de l'Antirouille ? Nous avons peint des casques pour une publicité qui est passée à la télé, nous avons entièrement restauré une Jeep Wrangler de A à Z, peint des containers, des sculptures des pièces pour l'armée… Tous les projets sont intéressants, mais la Jeep Wrangler est le plus gros. Tu as imaginé être dans cette situation aujourd’hui ? J’ai arrêté de penser à mon ancienne vie au bout de 3 ans…  Il y a des caps, au bout de 5 ans je suis arrivé à ce que j’envisageais, je suis satisfait et on a quasiment fini d'amortir nos investissements initiaux. Qui sont les clients de l’Antirouille aujourd’hui ? Nous avons des clients motos, comme BMW Store Docks à Marseille, Bolley Prestige 2 Roues (Aprilia, Piaggio, Gilera), MV Agusta, Ducati… Puis pour le reste c’est une clientèle de particuliers, Ciotadens, Cassidins, Ceyrestins et Marseillais. Pour la peinture artistique, c’est plus large, nous avons eu des clients de Bordeaux, Versailles, de la Réunion… Il nous envoie leur produits car ils nous ont vu sur internet et les réseaux sociaux. Quels sont tes vecteurs de communications principaux ? On communique via notre Facebook et notre site, mais les premières années on avait fait beaucoup de salons. Nous rencontrons un joli succès sur Instagram aussi. Je mets en valeur le travail de notre équipe et l’évolution de notre expertise.